Beci se félicite d’être consulté activement par le gouvernement bruxellois et reste vigilant pour que les intérêts des employeurs et entrepreneurs bruxellois soient mieux pris en compte. Beci occupe un rôle de premier plan de représentation des entreprises et des employeurs bruxellois.
En amont des décisions et des options qui sont prises par le Gouvernement bruxellois, en amont des lois qui sont adoptées, les partenaires sociaux sont consultés activement. C’est à ce moment qu’il importe de signaler l’impact de telle ou telle mesure envisagée sur l’emploi, sur l’attractivité de Bruxelles, sur le développement des entreprises.
Le résultat final est parfois pleinement satisfaisant. Parfois, il ne l’est qu’à moitié. Parfois aussi, il ne l’est pas du tout. Dans tous les cas, le résultat est meilleur que si les employeurs n’avaient pas été consultés, ne fut-ce que pour mitiger les effets négatifs de certaines mesures.
Quelques exemples dont Beci peut se réjouir ? Le déblocage de 30 millions d’aides promises aux entreprises ; les stimulants en matière d’économie circulaire ; les investissements dans les infrastructures de mobilité ; la politique d’open data ; la mise à l’agenda de la simplification administrative ; le lancement de projets de digitalisation ; des initiatives concertées sur des projets de mobilité ; le soutien aux initiatives d’entrepreneuriat féminin ; la priorité accordée aux métiers en pénurie ; des priorités de formation mieux en phase avec la réalité du marché.
« Pas à pas, nous allons contribuer à la politique de ce gouvernement, ou l’ajuster si nécessaire, mais pas sans écouter les petits et grands entrepreneurs, les indépendants et les professions libérales qui comptent sur Beci », dit Jan De Brabanter.