Que pense Beci du nouvel accord et de la déclaration de politique générale ? « Ce qui va compter, en définitive, c’est ce qui va se passer vraiment avec les ambitions du Gouvernement, la concrétisation, le financement et la concertation pour les mesures », répond Olivier Willocx, CEO.
« Beaucoup de points sur lesquels nous avons insisté dans notre mémorandum et dans nos rencontres avec les décideurs politiques s’y retrouvent », précise Jan De Brabanter, secrétaire général, « c’est tout spécialement le cas pour les matières relatives à la formation et à l’emploi. »
« Quand je lis qu’il faut soutenir l’accompagnement des entrepreneurs, encourager la digitalisation et soutenir le développement international, je ne peux qu’applaudir », poursuit Olivier Willocx. « Idem pour la place de l’économie et des activités productives en ville. Le tout c’est de voir comment. Notre souhait est de pouvoir rencontrer rapidement chacun des membres de l’équipe gouvernementale pour discuter des moyens et des solutions. »
« La mise en œuvre de projets Blockchain, la transparence sur l’utilisation des charges d’urbanisme, la confirmation de la réalisation de la ligne de métro 3, le développement de l’offre ferroviaire intra-bruxellois, la promotion de la voie d’eau, l’instauration d’une taxe kilométrique intelligente, le soutien à l’économie circulaire, voilà autant de points sur lesquels nous avons insisté et qui se retrouvent dans cet accord. »
« Nous aurons cinq ans pour commenter et travailler sur ce programme », conclut Jan De Brabanter. « En tant que représentants des employeurs, nous sommes non seulement des partenaires sociaux mais également des représentants de la société civile. C’est aussi à ce titre que nous demandons d’être partie prenante aux décisions et aux solutions qui concernent directement l’avenir de Bruxelles, de ses habitants et de ses entreprises. »